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2 novembre 2011 3 02 /11 /novembre /2011 15:25

La connerie est sans limite, omniprésente, elle n’épargne personne ; pas plus que les têtes couronnées censées gouverner les paquebots des Etats sur le point de sombrer.

en-a-t-il toujours été ainsi ?. L’exécutoire, le bouc émissaire sont nécessaire. Seul moyen dont dispose les dirigeants pour tenter de canaliser les mécontentements. Le juif, déraciné perpétuel qui ne trouve sa place nulle part a toujours été une cible de choix, même si, ça et là des voix s’élèvent pour prendre sa défense.

L’UNESCO, vous savez ce machin international censé s’occuper d’éducation, de culture et qui délivre au besoin des certificats qui placent les sites choisis comme « patrimoine de l’humanité ». Pas sectaire, puisque ce sont les représentants des nations qui votent. Exemple : La France a voté pour  l’entrée de la Palestine comme membre à part entière de l’UNESCO, alors que la Palestine en tant qu’Etat n’existe pas…. De là, à croire que la décote de popularité de notre cher président qui tente de grappiller çà et là quelques voix musulmanes y est pour quelque chose…

L’UNESCO, ce truc ou ce machin a demandé au gouvernement israélien à revenir sur sa décision, d’inclure le tombeau de Rachel et le tombeau des Patriarches dans les sites du patrimoine de l’état d’Israël.

 

Ces hauts responsables du patrimoine mondial, de la science et de la culture, n’ont probablement jamais eu un bible entre les mains…

Charlie hebdo a brûlé, ils ne savaient pas ces cons qu’on ne badine pas avec ce qui est sacré… il y a pourtant moins de risques à s’en prendre aux juifs, cathos, protestants shintoïstes, athées et autres croyants et incroyants de tous bords.

Contre productif leur truc, pour  Charlie Hebdo devenu une victime, un martyr c’est une opération promotionnelle inespérée, le numéro est épuisé…. Il va probablement être réimprimé et se vendre à plusieurs millions d’exemplaires, il y a très longtemps qu’un magazine en France, n’aura fait un tel tirage….

 

 

Dans la boue juive, le ghetto de Pithiviers

De notre envoyé spécial Jean Méricourt

 

 

Les Juifs sont donc enfin séparés de la vie française. Nous sommes allés les voir dans un des camps où ils ont été transportés dans les environs de Paris.

Ils vivent dans ces camps avec le maximum de facilités, sont nourris mieux que beaucoup de personnes à Paris et ont droit à toutes leurs rations alimentaires, quoique aucun n'ait apporté ses tickets.

 

Pour 1.700 Juifs, il y a deux tonnes de sucre (pour quarante jours), des réser­ves de haricots, de flageolets, de pois chiches, de pâtes.

 

Ils sont nourris sans avoir à se déranger et mangent de la viande deux fois par semaine sans avoir faire la queue. Ils ont du fromage de pays comme on n'en trouve pas à Paris et 300 grammes de pommes de terre par tête.

Ils mangent, étonnés, en tremblant car, mauvais, sadiques et sournois, ils n'imaginent pas que l'on puisse traiter correctement des coupables que l'on tient à sa merci. Leurs regards sournois trahissent leurs pensées ; s'ils étaient à notre place et nous à la leur, que ne feraient-ils pas ? Les souvenirs des geôles de Bar­celone et de Madrid sont là pour répondre.

 

Ces Juifs s'attendaient à être maltraités, comme si l'on maltraitait des Juifs !

 

S'ils pouvaient souffrir, ils souffriraient de ne pas être plus punis, mais on ne martyrise pas un Juif, on ne tue pas un Juif, on ne touche pas un Juif, on le méprise !

Le Juif n’est pas un animal, c’est un Juif. Après le Juif, il n’y a rien.

 

Crasse juive

Sales, pouilleux, crasseux, laids, informes, ils se pressent comme des singes autour de moi, puis se détournent pour parler en yddisch. Sur les 1.796 Juifs de ce camp, il y a 1.796 pouacres (très laid, très sale, avare…).

Ces maudits s'étonnent de ne pas être parqués comme des bêtes et de ne pas recevoir le knout que recevaient leurs ancêtres. Ils ne réalisent pas encore leur indignité. Ils ne sont occupés que d'eux, ils ne pensent pas à leur famille, Ils sont tout à la crainte du travail qu'on leur fera un jour exécuter.

 

On leur a montré les travaux qu'ils auront à faire.

 

Ce sont de simples travaux de terrassement et de défrichage, mais ils tremblent d'avoir un jour la pioche à la main. Ils renâclent, tirent au flanc et pourtant obéissent comme des esclaves. Comme, cependant, ils préféreraient être battus et bottés toute la journée, plutôt que de travailler de leurs mains !

Ces gros nez dans de grosses figures posées sur de gros ventres quémandent l'insulte, si elle les dispensait du travail. Mais on ne fouette pas un Juif !

 

Un Juif est incondamnable, puisque incapable de repentir.

 

Quel que soit l'adjectif ajouté au mot Juif, il l'élève. Un Juif vil, un Juif infâme, c'est mieux qu'un Juif. Il a été impossible à l'intelligence humaine de trouver un mot plus bas que le mot Juif.

Leurs sales gueules ouvertes me regardent de loin. Casquettes ou feutres bais­sés sur des oreilles trop larges, cols de pardessus relevés au soleil, foulards souil­lés sur des chemises graisseuses, regards torves et venimeux, ils s’accoudent, dans des poses de paresseux, mains dans les poches, jambes croisées, bâillant ou se grattant une crasse maladive. Méprisables, ils sont prêts d toutes les platitudes.

Certains, chevelure crépue, nez tombant, avec un accent et un bagout judaïques, essaient de vous accrocher à leur personne. Mille et mille fois méprisables.

 

Toutes ces têtes de Juifs, nous les avons déjà vues dans les magasins de Paris. Chapeliers, fourreurs, tailleurs, casquettiers, mais toujours escrocs, ils étaient hier parmi nous. Comment avons-nous pu admettre qu'une telle engeance pût s'ap­procher de nous, puisse continuer à nous approcher, nous, nos femmes et nos enfants ?

 

Marché noir et betit  gommerce

Cette expérience, car ce premier camp n'est qu'une expérience, doit être con­cluante. Ce n'est pas 5.000 Juifs qu'il faut envoyer dans ces camps, ce sont tous les Juifs qui vivent encore à nos dépens dans Paris. Tous ces Juifs doivent être punis, c'est-à-dire condamnés au travail.

 

Depuis les Pharaons, jamais ils n'avaient été chassés comme ils le sont aujour­d'hui et, pour la première fois, ils sont obligés à travailler de leurs mains. Lorsque Pharaon leur demanda, en effet, de travailler, ils préférèrent tenter le passage de la mer Rouge plutôt que de toucher un outil, mais, aujourd'hui, ils avaient si bien pourri la France, ils étaient tellement pris dans leur pourriture, qu'ils ne peu­vent échapper au châtiment.

Châtiment qui sera peut-être leur salut. Cette race peut se régénérer dans le travail.

Tirés du taudis, de leur croupissure et de leur crasse, ils peuvent se retrou­ver dans la vie saine et l'air pur, car ce camp n'est qu'une étape sur la route de l'exil ou de la terre promise.

Lorsque l'on parle d'exode, il ne faut pas que les parlementaires de Vichy se trompent. Aucune équivoque n'est possible, aucun compromis envisageable, aucune demi-mesure à envisager.

Aucun Juif, à quelque titre que ce soit, ne doit faire exception. Aucune dévia­tion ne peut être tolérée. Aucune exception ne peut être envisagée, ne serait-elle que pour confirmer la règle.

 

Il n'y a pas de bons Juifs, il n'y a pas de Juifs francisés.

Il n'y a pas de Juifs naturalisés. Il n'y a pas de Juif ayant fait ses preuves de Français. Il y a moins de différence entre un nègre et nous qu'entre un Juif et nous.

Il n'y a rien de plus laid, de plus faux, de plus vil et de plus méprisable qu'un Juif. Un Juif est toujours un Juif. Un Juif est toujours méprisable. Un Juif est toujours à chasser.

 

Paresse juive

Veut-on que nous donnions des noms ? Rader, Lévitan, Bouchara et ses soixante parents Solinski (Sools) et sa Légion d'honneur escroquée, Georges et André Lévy (chaussures André), Worms, Joseph Lévy, Hermann des bas Métro, les faux cinéastes, les Bloch, les Bernheim, les soldeurs, les voleurs de tous étages qui ont rançonné le commerce parisien ne sont-ils pas désignés d'avance ? A quand la rafle ?

S'ils sont incapables d'aider à la culture, il y a suffisamment de grands tra­vaux à leur faire exécuter ; le canal des Deux-Mers, le raccordement du Rhône au Rhin, la construction de routes, etc. Tous ces travaux n'étant considérés que comme des moyens de redressement de la race.

Nous demandons que les prochaines convocations soient lancées dans les quartiers du boulevard Suchet, de l'avenue Pierre-1er-de-Serbie, dans le quartier de l'Etoile et dans celui des Ternes. Il sera facile de récolter 5.000 nouveaux fai­néants vicieux, mais un peu plus riches que les premiers, donc un peu plus coupables.

Le premier ramassage s'est fait sur convocation, mais d'après certains ren­seignements, que nous avons de source certaine, le prochain se ferait différem­ment. Il serait réalisé une grande rafle qui aurait lieu prochainement dans le quartier des Champs-Elysées et au cours de laquelle tous les Juifs ramassés seraient dirigés sur un camp de travail. Cette manière de faire est particulière­ment équitable.

Quel que soit le moyen employé, il serait bon s'il peut nous débarrasser de tous les Juifs, sans exception, dans les plus brefs délais. Il faut que le problème juif soit réglé immédiatement. Nous ne voulons pas que les Juifs soient la cause d'un nouveau 13 décembre.

 

A quand la rafle juive

….Entre la France et les Juifs, entre ces deux antipodes, Vichy aurait dû avoir choisi depuis longtemps. Se débarrasser du Juif est une œuvre de salubrité publique, spirituelle et physique, c’est rendre justice aux victimes des Juifs. C’est ouvrir de nouveaux horizons à la France.

La pouillerie juive n’a pas de place dans l’Europe nouvelle, mais hors le Maréchal, qui pense à l’Europe, qui pense à la France, dans les hôtels le Vichy ?

 

 

Texte sélectionné et aménagé par Jean Aikhenbaum

 

 

Sources ; Au Pilori 1941

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